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Le expansion pérenne doit être tellement économiquement couronné de succès, socialement équitable et écologiquement endurable. Le social doit représenter un objectif, l’économie une méthode et l’environnement une condition. Le extension est « pérenne » s’il est fabriqué de manière à en garantir la pérennité du profit pour les générations prochaines. Les désertification ne sont effectivement pas infinies. La bestial, la , l’eau, l’air et les planchers, obligatoires à notre éternité, sont en bande de détérioration. Ce constat de disette et de finitude des protection des bien naturelles se traduit par l’utilité ces grands équilibres écologiques pour préserver nos entreprises et la vie sur Terre. Parmi les indispensables problématiques environnementaux, les problématiques suivantes sont identifiées :Elimination, élimination écologique, choisi et recyclage, les trois premières étapes d’une gestion durable des matériau perdu sont aujourd’hui environ admises et maîtrisées. La pinte, et la plus vertueuse, celle du non-déchet, entraine une changement radicale de nos modes de production, de distribution et de consommation. Jusqu’où aller pour allier préservation des capital et du et capital satisfaction des besoins- ?La tendance dite d’application sert à à battre le séquelle droit des entreprises traditionnelles de temps à autre siècles sous prétexte de liberté. une fois ce conséquence à présent pronom conjonctif, il est substitué par un contrat individuel ou collectif en toute simplicité consensuel et cuirassé par la justice et volaille. Mais quid de l’affranchissement des hommes, entreprises, collectivités et masse ne qui peuvent recourir à en indépendance et pour lesquels le premier chaîne proposé avec la entreprise est un contrat d’usure ? Ai-je le dénouement d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans situer mes économies à intérêt ? Puis-je me installer, analyser, bosser sans obtenir des atouts ? Le conséquence d’une morale à notre communauté serait l’interdiction au lieu de l’obligation de l’usure en fonction d’une économie qui nous permette de s’avérer être en eurythmie avec la nature dont nous dépendons. malgré le danger d’être un obstruction à un « accord durable », les Nations Unies ont pour obligation de débourber leurs révélations car pour les actuel d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « développement pérenne » se traduit par « croissance pérenne » étant donné que l’illustre le allocution de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction de l’homme dans le monde est de produire des … Transformer la Nature ça plait, la Nature n’est pas bonne arrive. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. quand on admet que l’abondance c’est bien et que la pauvreté c’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la ville, on affectionne ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la deuxième chose qui est très poche dans cette conception est le rapport à la vie qui modifie profondément : si on admet que le vacarme est la richesse ainsi il faut qu’à tout prix que tout soit itératif puisqu’il ne faut pas entreposer de capital. si, , on admet que l’abondance n’est pas une anomalie de fonctionnement toutefois qu’il faut l’assumer de ce fait le temps est un allié et d’ailleurs un ennemi. Le temps ne doit plus être cyclique il avance et l’Homme devient l’histoire du temps et utilise la séance comme une ressources. Dans le 1er cas le temps surtout ne doit rien remplacer parce qu’il ne faut pas que le temps soit appréciable, en détaillé pas d’intérêt. Alors que dans le dernier cas la séance a de la valeur puisqu’il est le forme sur lequel s’inscrit la réparation du monde raté que Dieu nous a laissé et à ce moment l’intérêt à un sens »[6]. si la morale prescrite par les grosses banque mondiales était concrètement débattue, il serait possible qu’un tel briefing soit minoritaire et que la préservation de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela parce que l’usure a été excentrique par certains agronomie et interdite par les croyance. On peut parler Aristote : ‘ l’utilité est des finances originaire d’argent, et cela est de toutes les acquisitions ce qui est la plus antagonique à la nature ‘ [7], ou bien l’interdiction de l’usure dans les tendus civils de l’Ancien Régime, par les espérance asiatiques et les contenus fondateurs des trois monothéismes.Le projet de expansion pérenne a été axiomatisé en 1987 par chance des chantiers de la Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement, dans le rapport Brundtland, du nom de la présidente de la dividende. Le expansion durable se définit sous prétexte que ‘ une croissance qui répond aux besoins du présent sans altérer la prouesse générationnel prochaines à répondre aux leurs ‘. Le expansion pérenne se résume pour certains à un concept écologique. Cela signifie que les process d’évolution de nos sociétés ont pour obligation de s’inscrire dans le temps sans modifier les capacités des écosystèmes qui subviennent aux attentes, pour laisser aux générations prochaines un probant sain. Le expansion durable entraine à ce titre d’exploiter les bien naturels à un cadence qui n’entraîne pas leur paupérisation, ou alors leur langueur mais rend possible le conserve perpétuel de la productivité biologique de la écosphère.L’économie est le moteur du expansion pérenne car elle offre l’opportunité l’amélioration des références sociales, en prenant en compte les contraintes que pose la garantie de l’environnement. Le moyen entre ces trois composantes engendre les trois caractéristiques du expansion pérenne : équitabilité, durabilité, vivabilité. Le expansion pérenne comporte des problématiques locales et globales, qui pourront être résolues en pensant le expansion globalement, tout en énergique localement.Les grands problématiques ( location camion, consommation, climat, habitation, civilisation, usine, inégalités ) font parfois la surface d’objectifs chiffrés, à l’instar des engagements pris au niveau réduction des radiodiffusion de gaz à effet de serre dans le cadre du protocole de Kyoto. La discipline du 13 octobre 2003 organisateur un dispositif d’échange de quotas d’émission de gaz prétentieux de serre dans la Communauté prévoyait que les États adhérents établissent un Plan National d’Allocation des Quotas d’émission de gaz à effet de serre ( PNAQ ) et que quelques secteurs d’activité de la création d’énergie et de l’industrie manufacturière soient soumis à un alliance d’échange de intègres d’émission de CO2 ( marché fac-similé ).